Mon intention est de partager les questionnements que je me pose sur la manière d’agir (l’expression verbale ou écrite étant aussi une action) et sur le choix des actions les plus appropriées et les plus efficaces en périodes de crises. Je pense que toutes actions, paroles ou pensées ont un effet, positif ou négatif, sur soi-même, sur les autres, sur l’environnement, sur la planète et sur l’univers. Le Dr Emoto a démontré l’effet du mot amour ou d’un mot grossier sur les cristaux d’eau. De nombreuses mesures ont été effectuées par l’Institut Heart Math et Joe Dispenza sur les effets des pensées positives ou négatives sur la cohérence du cœur et du cerveau, et sur la physiologie.

Je pense que les actions les plus appropriées sont les actions effectuées sur les plans immatériels (le Plan divin, le champ quantique, la pure conscience, etc.).

Les actions effectuées sur le plan matériel de la 3D sont très limitées. D’abord elles demandent beaucoup d’efforts physiques, d’énergie, de ressources matérielles et financières ; elles sont soumises aux limitations physiques du monde matériel, de l’espace-temps, et aux limitations causées par le fonctionnement de la société et de ses institutions. Elles vont rencontrer de nombreux obstacles, d’abord ceux des puissances au pouvoir qui sont prêtes à tout pour bloquer ces actions et garder le pouvoir qui est en train de leur échapper, ensuite l’inertie de la majorité de la population qui n’ose pas s’engager.

De plus, les actions matérielles demandent beaucoup d’organisation et beaucoup de temps pour produire des résultats souvent décevants. Elles dépendent aussi beaucoup de la langue utilisée, et comme la population francophone compte moins de 2 % de la population mondiale, c’est insuffisant pour avoir un effet global. 

Les actions immatérielles sont plus faciles à organiser, demandent moins de ressources matérielles, et ne sont pas affectées par les obstacles de la 3D et de la société. Elles ne sont pas conditionnées par l’espace et le temps et peuvent avoir des effets beaucoup plus rapides. Je vais donner quelques exemples.

• Les méditations globales. J’ai été surpris, après la méditation globale du 4 avril, que le nombre de nouveaux cas de Covid-19 en Thaïlande avait chuté de 50 %. J’ai regardé les chiffres pour le monde et les pays occidentaux les plus touchés à ce moment-là : les nouveaux cas, dans les deux jours suivants avaient aussi diminué de 30 à 60 %. Les organisateurs de la méditation, qui ne s’étaient pas identifiés, n’ont pas donné de résultats et n’ont pas proposé d’autres méditations, et quelques jours plus tard les chiffres ont recommencé à monter. Je pense que si on avait fait 2 ou 3 méditations par semaines pendant les semaines suivantes, l’épidémie aurait pu complètement disparaître rapidement. Des expériences de méditations collectives ont aussi fait baisser les accidents et la criminalité dans des villes.
• Élever le niveau de conscience d’une masse critique de la population (qui serait entre 5 et 10 %) pour provoquer un saut quantique (élévation de la conscience de toute la population) qui permettrait de mettre en place un nouveau paradigme et de créer un monde nouveau.
• Le travail de Joe Dispenza. Il existe de nombreuses vidéos en français sur YouTube qui décrivent son travail en détail, ainsi que son dernier livre, Devenir superconscient. En quelques mots, il s’agit de définir clairement une intention et de la créer au moyen d’un état émotionnel positif dans un plan immatériel, d’où elle se manifestera dans le plan matériel de la 3D. L’effet de ce processus a été démontré par des milliers de tests et sur le plan individuel par des centaines de guérisons miraculeuses. 

Je pense que si toute une communauté pratiquait ensemble une de ces techniques ou d’autres techniques similaires, à intervalles réguliers pendant les prochains mois, sur les sujets les plus brûlants, on assisterait à des résultats spectaculaires et miraculeux. On ne risque pas grand-chose à essayer. Ce n’est pas très compliqué à organiser et ne demandera pas beaucoup de temps aux participants.

23 mai 2020, Khanom